Les moyens financiers et la culture sont des facteurs qui empêchent les jeunes et les femmes à figurer parmi les décideurs. Déplore Godelieve Manirakiza, présidente de l ᾽AFRABU. Elle interpelle à ces deux catégories de faire tout pour assurer leur automatisation afin de faire face à la sous-estimation.

AFRABU l’association des femmes rapatriées du Burundi déplore la représentation des femmes et des jeunes dans les instances de prise des décisions. Godelieve Manirakiza présidente de l’AFRABU indique cependant ces deux catégories de personnes sont capable et peuvent la différence. Tout cela c’est à quelques mois seulement des élections législatives.

Cette actrice de la société civile qui représente les femmes rapatriées trouve que les partis politiques mettent en avant les hommes seulement au détriment des jeunes et femmes par sous- estimation sinon elle rappelle leur capacité une fois qu’on pense pour eux et encouragent les jeunes et les femmes.

Godelieve Manirakiza demande aux jeunes et aux femmes pour s’atteler aux projets de développement de s’autonomiser financièrement qui une barrière a ces deux catégories de personnes qui sont en quelque sorte sous-estimes et ne sont pas mis en avant pour figurer dans les instances de prise des décisions du pays.

Manirakiza demande à ces deux catégories de gens à bien se préparer pour les échéances électorales prochaines afin de contribuer au développement du pays car eux aussi sont capable et peuvent donner son apport louable.