Politique:Des solutions alternatives pour renforcer la démocratie au Burundi.

Léonce Ngendakumana propose quelques solutions pour renforcer cette démocratie car selon lui la démocratie c’est la meilleure façon de gouverner le pays dans la mesure où les dirigeants du pays sont élus par la population. Cet homme politique trouve que l’organisation d’un débat sur la démocratie parce que cet ancien numéro un de l’Assemblée Nationale la plupart des politiques confondent les élections à la démocratie.

La deuxième solution selon Léonce Ngendakumana est le renforcement de la démocratie et la bonne gouvernance. Ici tous les acteurs sont appelés à se mettre ensemble pour une évaluation et sa mise à jour ; il donne comme troisième solution c’est le renforcement de dialogues car selon lui cette troisième solution est la seule voie pour trouver solutions aux différends ou contentieux existant au sein de la population et cela permettra également à la bonne préparation du processus électoral car selon ce politique une fois rater les élections en cours de préparation ce serait un échec.

Autre proposition de Léonce Ngendakumana les politiques devraient se mettre ensemble pour se compléter afin d’assainir la démocratie. Autre élément qui peut aider selon ce politique c’est l’école de la démocratie qui va ouvrir les yeux la population afin de s’éveiller et susciter du changement lors du scrutin sans oublier l’école qui enseigne et incite les burundais à s’atteler aux activités génératrice de revenue ce qui va permettre au développement durable car selon Léonce ngendakumana les burundais sont devenus des paresseux ces derniers jour tout en précisant que la paresse est un élément dangereux pour le pays et peut également être un élément qui paralyse la démocratie.

Léonce Ngendakumana salue le décret présidentiel récemment signé par le président de la république appelant les politiques à présenter leurs candidatures à la CENI mais s’inquiète du contenu du calendrier électoral qui ne facilite pas tout le monde qui désire se faire élire.

Selon cet homme politique le désire de truquer le scrutin se sent et demande à tous ceux qui désirent faire des tricheries de couper court avec ce comportement qui peut pousser le pays dans des crises politiques. L’ancien numéro un de l’Assemblée Nationale trouve également qu’il y a beaucoup d’éléments qui disqualifient certains politiques à se présenter aux élections mais insiste pour que les prochaines élections soient transparentes inclusives et apaisées.